La Table de la Quotidienne/AVIS/Sabre met les pieds dans le plat des CDD, du PNR et de IATA

22 avril 2016 Bertrand Figuier Aucun commentaire À la une, Evènements françois piot, Jean-Pierre Mas, Jean-Pierre Sauvage, Richard Vainopoulos, Table de La Quotidienne

Pour sa 11ème édition, la Table de La Quotidienne/Avis/Sabre s’est retrouvé sous la véranda de Trassoudaine, le restaurant très animé de la Place Nationale, dans le 13ème arrondissement de la capitale.

Pour aborder avec nous l’actualité du mois, trois sociétaires confirmés :

Jean-Pierre Mas, Président du SNAV,
Jean-Pierre Sauvage, Président du BAR,
Richard Vainopoulos, Président de Tourcom

Et un nouvel impétrant :

François Piot, Président du réseau d’agences Prêt à Partir

C’est évidemment avec la loi El Khomry que nous avons entamé les débats et le moins qu’on puisse dire, c’est que nos invités n’en ont pas l’éloge. Pour le Président du SNAV, la version originale de ce texte législatif allait sans doute dans le bon sens, mais des syndicats, en particulier la CGT, « le plus réactionnaire » d’entre tous, ont gaspillé cette chance de ramener un peu de flexibilité dans l’embauche de salariés.

Partie 2
Sur le PNR, à entendre les convives de cette 11ème table de La Quotidienne/Avis/Sabre, on fait beaucoup de bruit autour de pas grand-chose, notamment dans la mesure où ce fameux PNR n’étant pas européen. Chacun continuera donc à faire ce qu’il fait déjà et la sécurité n’y gagnera pas vraiment.

Parties 3 et 4. Le gros dossier de ce déjeuner était évidemment les nouveaux critères IATA ; il a bien fallu deux séquences pour laisser à chacun le loisir de dire tout ce qui lui paraissait nécessaire. On devinera aisément que nos invités n’étaient pas tous sur la même longueur d’ondes, mais le Président du BAR a défendu seul le point de vue des transporteurs avec l’humour, la pertinence et la courtoisie qui font les vrais débats à la française. Cela dit, le dossier n’est pas clos, loin de là, et les discussions montrent bien le chemin qui reste à parcourir pour trouver un consensus durable, d’autant que c’est probablement au plan international que cela doit s’envisager.
Partie 3

Partie 4